Mort de langlois
Nous avons tout d’abord la scène de l’oie qui est rapporté à tout le monde lors du repas par Anselmie c’est la narratrice dans ce passage. On voit bien le côte de Langlois sont côté autoritaire et déterminer L.40 « discute pas » , L.43 « dépêche » . Puis nous avons ensuite un discours avec les invités du repas chez Anselmie qui discute de cette scène.
Ensuite apparait la fascination de Langlois pour le sang, L.97 « il l’a tenue par les pattes. Eh bien, il l’a regardée saigner dans la neige. Quand elle a eu saigné un moment il me l’a rendu » , L. 104-105 « il était toujours au même endroit. Planté. Il regardait à ses pieds le sang de l’oie » Langlois, s'apercevant de son attirance pour le sang comme M. V., élimine le danger qu'il représente désormais, il voit à présent côté meurtrier et qui explique probablement son suicide afin de ne pas nuire à la population.
Et enfin son suicide qui est raconté par le 1er narrateur, ce soir il ne fumait pas son cigare habituelle mais « une cartouche de dynamite ». À l'approche du dernier hiver, le suicide est le dernier recours d'un homme qui se sent probablement tenté de recourir à la même forme de divertissement que M. V. avant lui : le divertissement du meurtre. L'auteur veut montrer que l'homme pour sortir de son ennui existentiel par le divertissement peut aller jusqu'à la fascination du Mal. Ainsi s'explique le choix du suicide, ultime barrière dressée contre la tentation de devenir loup à son tour, mais aussi moyen de rejoindre enfin l'unité perdue : "c'était la tête de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l'univers". « Un roi sans divertissement est un