Cher Mozart, Mon année scolaire étant terminée, je profite en hâte de cette occasion afin de te remercier de tout cœur pour, disons-le, ton opiniâtre et despotique omniprésence! Cela étant dit, le jeune flegmatique et taciturne garçon que je suis bouquine en ce moment Ta Biographie ‘’Wolfgang Amadeus Mozart’’ de Jean et Brigitte Massin et je saurais calomnier, en disant qu’il ne s’agit d’une pure merveille écrite, car elle relate en grande partie Ta Vie erratique et quelque peu incartade … mais tout de même très intéressante de Ta Naissance à Ta Mort mystérieuse et ésotérique. Axiomatiquement, j’étais dans l’obligeance de Te faire part des nombreuses ouvres musicales que j’aie découvertes; Mozart : Concerto pour piano n° 21 en ut majeur (K. 467); Le Concerto pour piano n° 9, dit Jeunehomme, en mi bémol majeur, K. 271; et finalement une pléthore de symphonies et de sonates. Bref, fieffé que je suis d’être à Tes Côtés. De plus, les lazzis de mes cyclothymiques connaissances à ton sujet et au mien ont périclités, de cause que mes cours sont terminés, cela ne fait que me ragaillardir. ¨Par chance que je T’aie connu, tu es présentement mon viatique et tu le serras sempiternellement, en d’autres mots, tu m’as sauvé par Tes mirobolants florilèges de notes, de la sonate # 11 (Alla truca) à Ton Opéra Don Giovanni, je les aime tous. J’ai tenté d’écouter d’autres sylphes de la musique classique de typologie galante et baroque (Beethoven, Haydn, Gluck, Chopin..), cependant je n’en fus aucunement capable, car Toi autant que Ta musique, êtes exceptionnellement uniques et impossibles à rapiner.
Somme toute, tous ces mots pour Te déclarer mon adulation et mon idolâtrie envers le plus grand musicien de toute l’histoire, Toi, Joannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart. Merci de grâce, de ton admirateur le plus dévoué qui te dévoue sa vie.