Mutation travail
I- Un nouveau contexte imposant de profondes transformations.
A. La double limite du taylorisme.
B. De la rigidité à la flexibilité : le toyotisme.
II- Des effets contrastés sur l’emploi.
A. Du travail au capital humain
B. La fragilisation des statuts.
I) Les nouvelles organisations remplacent le tayloro-fordisme
A. La flexibilité
B. Le progrès technique
II) Le tayloro-fordisme n'a pas totalement disparu
A. Le rythme de travail
B. Les conditions de travail
Conclusion
des entreprises marchandes françaises ont modifié leur organisation du travail, c'est à dire leur méthode de production. Mais cette volonté de changement habite les entreprises depuis les années 70 et l'apparition d'une nouvelle organisation du travail se substitue donc aux organisations traditionnelles. Ces dernières rassemblent le taylorisme et le fordisme basent sur la suppression du moindre geste inutile, la partiellisation des taches (appelée aussi division horizontale), la hiérarchisation poussée, qu'on nomme division verticale et enfin sur la paye à la pièce, ce qui motive l'employé à produire plus. Le fordisme y ajoutera même le convoyeur, et mettra ainsi en place le travail à la chaîne. A l'inverse, le nouveau productivisme remet en cause ces divisions en élargissant les tâches des employés en leur donnant plus de responsabilités. La mutation, le passage d'une organisation à