mythes
(la definition)
Alors comment procéder?
Premièrement, il faut avoir une visibilité sur le ou les problèmes qui handicapent la croissance de l’entreprise et ne procéder à des workshops que lorsqu’il est évident qu’il y a un manque de nouvelles idées;
Deuxièmement, s’investir dans le travail de suivi et fédérer toutes les compétences relayées aux nouveaux projets autour d’un suivi à long terme.
L’échec de la plupart des efforts d’innovation n’est pas dû au manque des idées lumineuses mais à cause de manque d’un suivi ad hoc (qui convient parfaitement a une situation ou un usage) et convenable.
Le mythe de la démocratie
On distingue deux demarche : La démarche Bottom-up et la demarche top-down
Nombreux sont ceux qui prétendent à la supériorité de la démarche Bottom-up et disent que c’est la meilleur par rapport à la méthode top-down en ce qui concerne la mise en place de nouvelles idées. Leur raisonnement est simple: Premièrement, l’innovation est une responsabilité qui incombe à tous les collaborateurs de l’entreprise;
Deuxièmement, les dirigeants de l’entreprise n’ont pas suffisamment de temps pour s’activer dans la génération de nouvelles idées.
Apparemment, aucune grande entreprise ne semble résister à cette tentation.
Et comme exemple il y a la formule 70-20-10 qui permet aux collaborateurs du géant américain Google de consacrer 10% de leur temps de travail à la génération de nouvelles idées.
Sa signification est : 70% du temps devrait être consacré à des tâches commerciales de base .
20% du temps devrait être consacré à des projets liés à l'activité de base .
10% du temps devrait être consacré à des projets non liés à l'activité de base .
Le mythe de l’intégration
Selon ce mythe l’avenir est dans l’innovation ouverte.
Les entreprises ont un accès direct à un énorme gisement de nouvelles idées rendu possible par la prolifération des réseaux sociaux et des forums on line.
Il est de plus en plus observable que les grandes