« Les systèmes de rémunération des compétences et les nouvelles formes d’engagement qu’ils instaurent, sont réellement en mesure de susciter et de soutenir l’implication des salariés dans la relation de travail ? »

Etudiantes motivées à suivre le parcours « Management des Equipes et Développement des Compétences », il nous paraissait judicieux et intéressant de travailler sur un thème en lien avec notre orientation professionnelle. Nous avons donc choisi d’étudier l’article d’Alexandre LENE, 2008, « Rémunérer les compétences, l’entreprise peut-elle tenir ses promesses ? », Revue française de gestion, 4, n°184, p.51-6.
En effet, les entreprises faisant face à un environnement, en perpétuel évolution et de plus en plus concurrentiel, nous sommes convaincues que les ressources humaines sont aujourd’hui le facteur qu’il est indispensable de développer pour obtenir un avantage concurrentiel. D’où la nécessité pour les entreprises de mettre en place des systèmes d’incitations comme le SRC pour créer des conditions de motivation et donc d’implications de son personnel. Cette pratique suscite l’intérêt de plus en plus de chercheur dans le domaine du management. L’analyse de cet article nous a menées à effectuer un travail d’analyse théorique et un travail d’analyse empirique sur les travaux antérieurs et postérieurs en lien avec la problématique.

Les systèmes de rémunération des compétences généralement utilisés dans de grandes entreprises sont encore difficilement applicables et leur efficacité est toujours remise en cause.

Notre objectif est donc de démontrer en quoi les systèmes de rémunération sont capables de motiver ou non les salariés.

Il s’avère que les auteurs estiment qu’en fonction du type d’entreprise, des différents salariés, de la mise en œuvre du système de rémunération des compétences, ce système peut être plus ou moins efficace. C’est ce que nous avons également constaté au travers de différentes études de terrain que nous