Mémoire
Williams-Sassine
Grosperrin Caroline
Edition : Emie&Kebabounet
Préface sur chaque extrait
Tu pourrais te libérer Rama.
J'appartiens à un n'autre. Je suis libre depuis longtemps .C'est Christian qui m'a libérée, il m'a donné sa nationalité, son nom, sa confiance, son chéquier. Je viens d'un pays de merde de l'autre côté de l'Afrique,,,J'ai un frère au Canada, une soeur en France, une autre aux Etats Unis, ma petite soeur avec nous,,,Nous avons été atomisés. Ma mère est toujours là-bas,,,
J'apprenais à devenir l'amant de poche des grandes dames, l'albinos d'occasion, très facile à plaindre, à déshabiller comme on épluche un oignon, pelure après pelure, solitude après solitude et je les regardais chercher le fond des choses. Je savais qu'au fond on se noie.
N'exagère pas, Milo. Après tout, ce qui est arrivé est banal et normal. Ma femme est très désirable et je la negligeais. Je suis au fond aussi paumé que toi. Elle, c'est pire puisqu'elle ne compte que sur moi. Peut-être qu'on est des albinos. On nous montre du doigt partout où on passe,,,J'avais un projet dingue pour échapper à ma sexualité trouble de mon côté homosexuelle inavoué, frustré, réfugié dans le travail.
J'ai choisi ces 3 passages, car ils parlent d'albinos, ils montrent tout les 3 que les albinos se sentent mal mais que parfois des personnes leurs donne leur confiance et les aimes pour ce qu'ils sont, mais que aussi parfois ils se font marcher dessus par des gens plus haut, plus aisé... Il montre vraiment un regard sur l'autre et l'ailleur … Dans le roman beaucoup de passage le narrateur parle des albinos comme des personnes pas acceptés, et qui on souvent du mal en arrivant dans un autres pays …
Comment sont les gens, et les personnes racistes, il montre beaucoup de chose et nous donne une vu et des points de vu que l'on ne vois pas partout...
Sobre, poétique, léger et grave, le roman postuhme deWilliams Sassine est un beau testament littéraire que