Chapitre 1 : Naissance de l’économie néo-classique

Introduction :

Comment l’éco néoclassique va-t-elle assurer une définition fixe de l’économie avec une reconnaissance, une diversité des régimes éco et sociaux. On part du comportement de l’individu  l’individualisme méthodologique.
L’objet de l’étude va concerner l’action des individus contre la rareté.

Robbins (éco anglais des années 30) : «économie attrait à l’allocation de ressources rares entre individus, l’activité économique sera de combiner le mieux possible les moyens rares pour atteindre des fins alternatives ». En tout temps, les hommes ont affaire à des choix, il faut économiser des moyens avec des finalités propres à chaque individu.

Pour Polanyi, cette démarche s’apparente à une définition formelle de l’économie. Cela signifie que c’est la forme d’un comportement qui va caractériser l’économique. L’économique va s’engendrer dans son comportement rationnel d’individu que l’on va présumer calculateurs.

Remarque : Cela rapproche l’épistémologie des classiques et des néo. Il doit y avoir séparation de l’économique avec le reste de la société. On va donc avoir la défense d’un point de vue individualiste. L’individu ému par l’utilité et par la rationalité. Il y a une alternative selon le clivage fin/moyen. Il faut qu’il y ait de la rareté. Il doit y avoir des procédures particulières qui puissent permettre le calcul. Cela suppose un universel et donc le marché.

Problème : comment faire face à la diversité des régimes économiques ?

L’idée développée est que les individus ont plusieurs choix pour arbitrer face à la rareté. Configuration centralisée ou décentralisée. On va partir d’une définition éternelle de l’économique. On aura des difficultés à faire des distinctions à travers l’histoire. Avec une définition fixe de l’économique, qui va renvoyer au marché, cela suppose que le marché va devenir le modèle général de l’économique.
Si le fil conducteur est toujours de faire le