Sujet : Y a-t-il quelque chose de naturel en l’homme ?
Référence : texte de Rousseau (devoir) Nous disons que l’homme est un être naturel. Ont le comparent souvent à l’animal, mais les hommes ne sont pas des animaux... En même temps ont diment que l’homme a une nature qui lui est propre, sa culture. Tous les actions,tous les événements, même les plus simples et les plus naturels de l'être humain, comme naître, se nourrir, dormir, mourir... sont toujours accompagnés de traditions, de fêtes, de règles et de choix non biologique. Par exemple, il faut manger pour vivre : c’est biologique. Mais ce que l’on mange, la façon dont on le mange, l’horaire des repas, résultent pour l’essentiel des habitudes et des traditions de la société à laquelle l’individu appartient. Ce doute nous mènes à se demander es qu’il ya quelque chose de naturel en l’homme ? Dans un premier temps nous distinguerons l’innée de l’acquis, pour voir ensuite la culture transforme la nature et enfin la culture agit sur nous.

I .Distinguer l’inné de l’acquis
Le naturel : Ce que l'homme n'a ni modifié ni produit : ce qui se développe de lui-même, ce qui se fait tout seul. Tout homme, quelque soit sa culture, partage avec les autres vivant des besoins et des instincts .Ce qui nous permet d’appeler ces instincts « naturels », c’est qu’ils sont biologiques, qu’ils ne peuvent être modifiés par la culture, et qu’ils sont par conséquent existant de la même façon chez tout homme. « Instinct et raison, marques de deux natures. » Pascal, Pensées, 344. L’homme a aussi un ensemble de caractères et de comportements innés et spontanés, un langage naturel qui est immédiat, mécanique, non réfléchi qui forment sa nature. Par exemple la peur : pousser un cri, prendre la fuite
Le culturel : Ce qui est culturel, on peut le remarquer facilement parce qu’il change selon les cultures : les formes de vêtements, d’ornements, d’habitat, de structures sociales et politique… ces des formes de tradition, par exemple chez