Les ressources renouvelables

L’exploitation des chutes d’eau produisent la fameuse «houille blanche» (électricité obtenue à partir de l'énergie hydraulique des différents flux d’eau). Certes on utilise de plus en plus d’énergie et l’on saut qu’u pays industriel double sa consommation d’électricité mais à côté de ces sources classiques, nous disposons de réserves extraordinairement riches ou même perpétuellement renouvelables et qui n’ont guère été sollicités jusqu’à présent. Utilisation de la chaleur volcanique : «la houille rouge» : la mobilisation de la force motrice des marées, à l'embouchure de la Rance ont déjà franchi le stade de l’expérimentation en laboratoire.
Le soleil est une source d’énergie : les pompes de chaleur et les fours solaires.

Les ressources non-renouvelables

Les énergies fossiles comme le pétrole, le charbon, le gaz à effet de serre forment les énergies non renouvelables au sens où il y a peu de réserves et une consommation intensive. On retrouve le même problème dans les énergies nucléaires : les gisement d’uranium ne produiront pas d’énergie sur le long terme. Le gros problème qui se pose à l’humanité est que 80% de l’énergie consommée est non-renouvelable.

Une agriculture puissante et diversifiée, des régions de productions spécialisées

Elle est la plus étendue d’Europe Occidentale (environ 30 000 km2). De plus en plus, la France dispose de techniques agricoles perfectionnées. La production est ainsi spécialisée et commercialisée.
Le tourisme
En l’espace d’un siècle, l’homme est passé d’une nature hostile à une nature révolutionnaire, d’une géographie classique à une géographie moderne.
A l’époque, la montagne suscitait la peur et la défiance (jusqu’au XVIII ème siècle, le Mont Blanc était appelé «la montagne maudite»), aujourd’hui on parle «d’or blanc». On a mis en tourisme la montagne en développant des stations d'alpinisme qui ont su accélérer la valorisation estivale et hivernale du patrimoine montagnard.