Ne tirez pas sur les ambulances! » de paul n. goldschmidt
Différence entre l’argumentation de Taine et celle de Goldschmidt :
• Dans le texte de Taine : aller/retour incessant entre la métaphore et le discours argumentatif.
• Dans le texte de Goldschmidt : on est tout le temps dans la métaphore.
Plan des idées essentielles :
➢ Partie 1 : diagnostique :
• causes de la crise (comportement à risque à l’image du sida) → affaiblissement du système
• propagation de la crise à l’image du cancer
• apparitions périodiques, formes nouvelles et donc antidotes nouveaux (à l’image de la grippe)
• remèdes appliqués :
• 2007-2008 : remèdes classiques
• Été 2008 : aggravation → interventions chirurgicales suivies d’autres interventions
• Appel à une coordination, chaque pays restant libre d’appliquer le traitement le plus approprié à sa situation
• À ce jour (février 2009) : impossible de rétablir la confiance pourtant fondamentale pour l’efficacité des traitements prescrits et prescriptions contradictoires.
➢ Enseignements à en tirer :
• diagnostiques incomplets → mesures incertaines quant à la guérison
• recours à de nouveaux remèdes aux effets secondaires inconnus, car indisponibilité des anciens
• si efficacité de ceux-ci → gestion de l’après-crise différente de celle de la crise
• renfort des mécanismes de coordination et création d’une structure à trois niveaux
• injonction à tous les acteurs de ne pas fragiliser l’état du patient : nécessité de mettre entre parenthèses les préoccupations idéologiques et politiciennes et exprimer la situation de façon réaliste et sans faux espoirs.
➢ Thèse :
Face à l’ampleur de la crise financière, qui s’étend et prend des formes jamais rencontrées jusqu’à présent, il est impératif de mettre tout en œuvre pour s’en sortir au mieux au niveau mondial, national et régional – loin des approches partisanes – afin qu’on ne soit plus