Noha
Cet article, écrit par René Leboutt, parle des frontières en Europe durant la période de l'entre-deux guerres. L'article est divisé en trois périodes de temps:
Après 1918:
Après le traité de Versailles, de nouvelles frontières ont été ajoutées à l'Europe et elles semblaient bien définies. Mais en réalité, elles étaient fragiles. L'idée de Paneurope commence à se lancer dans le parlement pour avoir une Europe unifiée et forte. Beaucoup de gens commençaient à questionner l'existence de l'Europe. Ils ont dénoncé son déclin en économie ce qui a aider les États-Unis et le japon à prendre sa place au centre du monde. De plus, l'idée de frontières nationales adoptées à ces temps là, a impliqué que les frontières politiques et les limites ethniques doivent se coïncider et cela a exclu les minorités en Europe.
Donc ces nouvelles frontières crées se sont révélé faibles, sensibles et causant des déséquilibres économiques et politiques. Cela est bien évident si on compare le produit national brut par habitant dans les pays européens avec celui des Etats-Unis, on trouvera qu'il y a un grand écart. Mais ce qui est plus alarmant c'est l'écart entre les pays européens développés et ceux qui sont non développés même si le PNB a atteint son niveau le plus haut après la guerre.
Dans les années vingt, un autre problème de frontières prévale: c'est la formation des "métafrontières". L'URSS et les régimes nazis el fascistes envahissent l'Europe en créant des frontières à l'intérieur du continent. La plupart de l'Europe est envahie et il ne reste que quelques pays démocratiques dont la grande Bretagne, la France, la Belgique et le Suisse. L'Europe devient un espace faible et fragmenté.
Entre 1929 et 1939:
L'Europe est si pleine de frontières internes, on a commence à l'appeler " le continent des frontières". On ne s'intéresse plus aux nombres des frontières mais à leur nature. Il y avait des frontières perméables pacifiques ou bien des