Nos temps moderne
A) L’évolution des mœurs
Si l'homosexualité est « tolérée » dans le milieu très fermé de la grande bourgeoisie, elle est très mal perçue dans les milieux ouvrier et paysan ce contraste est aussi valable entre les milieux ruraux ( beaucoup moins tolérant).
Les femmes homosexuelles pouvaient vivre leurs sexualités comme elles le désiraient à condition que celle-ci restent cachées et qu'elles respectent le schéma familial traditionnel bourgeois (mariage, enfants, etc...). A contrario, l'homosexualité chez les hommes était très mal vue car celui ci est alors considéré comme ) moitié femme, et tant donné que celle-ci ne jouissait d'aucun rôle politique et , considérée comme inférieur à l'homme, l'homme inverti n'était pas toléré.
Au 19éme siècle, l'homosexualité est un sujet littéraire qui fait vendre, par exemple, les fleurs du mal de Baudelaire qui devait s'intituler les lesbiennes. Certain personnage d'Émile Zola, tel que « Nana » était des lesbiennes.
Cette époque de « tolérance » était appelée la « belle époque », elle prit fin au lendemain de la seconde guerre mondiale.
1)Le pluralisme familiale
Le pluralisme familial légal est présent mais il est caractérisé par le paradoxe. En effet, le mariage ne représente plus l’unique institution à l’origine de la constitution d’un lien de famille. En outre, le lien de famille se décline sous toutes ses formes, de la monoparentalité à la pluriparentalité. À l’opposé, la reconnaissance juridique du concubinage n’a pas impliqué celle des familles homoparentales.
Le droit détermine la famille à partir du groupe, de l’ensemble des personnes unies par un lien de parenté. Aussi le lien de famille, qui réalise l’attachement d’une personne à son ascendant ou à son descendant, est direct. Le lien de famille indirect désigne la col latéralité (Fille, mère, petite-fille… ). En d’autres termes, la famille est définie soit en un sens large comme l’ensemble des