Note critique sur la reussite scolaire
NOTE CRITIQUE SUR L’EXPOSE :
ELEVES : TRAVAILLER, PERTURBER, DERIVER
Cet exposé est représentatif et fidèle aux textes étudiés. En effet, il met bien en avant les principaux concepts repris par chaque auteur qui font référence au parcours scolaire des élèves des banlieues populaires, entres difficultés du rapport au savoir et origine sociale. Ces textes sont intéressants dans le sens où ils se rejoignent sur ces difficultés de réussite scolaire auxquelles sont confrontés les élèves et mettent en lien l’importance et la place qu’occupe la classe sociale dans ce parcours.
Les questions laissées en suspens
Dans le texte de Charlot :
L’auteur montre, par le biais des enquêtes menées, comment sont appréhendés les processus de construction, d’organisation, de catégorisation du monde mis en œuvre par les jeunes issus des banlieues populaires. Il analyse aussi le rôle de la famille et de l’environnement. Il étudie aussi leur histoire scolaire et la trajectoire qu’ils ont suivie ainsi que les principaux types d’apprentissage évoqués, les lieux et les agents de l’apprentissage, le rapport à l’école et au savoir de ces jeunes.
Il est clairement dommage que ce texte n’ai pas fait l’objet d’une fiche de lecture mais l’essentiel a été repris. Peut être aurait il fallu mettre un point sur l’histoire scolaire des élèves et quelques résultats concrets qu’ont apporté les enquêtes réalisées auprès de ces jeunes pour illustrer et appuyer les propos de l’auteur.
les éléments sur lesquels vous auriez pu insisté davantage
Le texte de Millet et Thin abordent la question peu développé de singularité sociale en s’appuyant sur d’anciens travaux concernant les ruptures scolaires de collégiens issus de banlieue populaires. Le public est ici différent de celui de B. Charlot et nous permet donc d’appréhender, plus ou moins, les mêmes idées sur des publics différents.
Il aurait été intéressant de développer brièvement dans l’exposé le concept