Victor Hugo est un romancier du XIXe siècle, période de diverses révolution. Le roman Notre-Dame de Paris sort en librairie le 16 mars 1831. Son auteur, bien qu'âgé de moins de trente ans, n'est pas un inconnu dans les milieux littéraires. Il s'est affirmé l'année précédente comme le chef de l'école romantique avec sa pièce Hernani. Avec Notre-Dame de Paris, Victor Hugo inaugure un genre romanesque plein «de caprice, d'énormité et de fantaisie» qui le rend célèbre dans le lectorat populaire. Son triomphe est toutefois gâché par l'adultère de sa femme Adèle avec son ami Sainte-Beuve. Le peuple de Paris assiste à un concours de grimaces qui permettra d'élire le pape des fous ; chaque concurrent exhibe son visage grimaçant au travers d'une rosace à la vitre brisée. Un dernier candidat se présente dont on apprendra par la suite qu'il est Quasimodo. Nous verrons tous d'abord que ce personnage est un personnage complexe paradoxal puis nous expliquerons par la suite son portrait qui blâme la société.
Dans un premier temps le romancier présente un personnage complexe et paradoxal. Tout d'abord la description s'attache à l'aspect effrayant du personnage. Quasimodo est un personnage effrayant et laid « cette bouche en fer de cheval » « des dents désordonnées et ébréchées ». Cette comparaison nous montre toute la laideur de ce personnage. Il est comparé même a des objets insolites comme un fer a cheval. L'être difforme de Notre- dame de Paris « de larges pieds » « des mains monstrueuses » l'auteur met en avant ses défauts mais pas ses qualités. Ces termes sont la description d'un monstre qui fait peur a tout les monde. En effet, on trouve la présence d'une âme. L'auteur Victor Hugo exprime toute l'agilité de Quasimodo à faire des grimaces « merveilleuse grimace » « les figures pentagones et hexagones ». En faite, ces terme signifient qu'il peut faire n'importe quelles grimaces plus ou moins belles avec son visage. Ce personnage se croit acclamer mais en effet il est