nouvelles orientales
Le peintre Wang Fô et son disciple Ling érent de ville en ville.
Ils sont un jour arrêtés par l'empereur qui reproche à Wang Fô de lui avoir caché la réalité avec ses peintures "trop belles". Aussi l'empereur exige du vieux peintre qu'il termine sa toile inachevée avant de l'éxécuter. C'est dans cette peinture que Ling et son maître s'enfuiront, échapant ainsi à la mort et on n'entendit plus jamais parler d'eux.
Le sourire de Marko
Un archéologue grec, un pacha égyptien et un ingénieur français conversent à bord d'un paquement. Dans la discussion, l'ingénieure vient à comter l'histoire de Marko:
Il était un rennégat qui tissait des relations avec les "pays infidels". Son chemin le conduisit à se réfugier chez la veuve du pacha de Scutari. Mais sa quiétude fut éphémère. Il fut capturé par les turcs, dénoncé par la veuve. Il subit alors d'atroces tortures physiques sous les intructions de la veuve. Mais aucune ne parvenait à lui arracher le moindre signe de douleur. Ce n'est que quand on fit appeler des danseuses qu'il n'a put s'empêcher d'esquisser un sourire. Mais la jeune Haisché, charmée par le supplicé dissimule le sourire. Quand le "temps d'adorer Dieu" fut venu, Marko se délivre, tue la veuve et prend la fuite avec pour objectif d'épouser la jeune fille qui lui a permis de survivre.
Le lait de la mort
Jules Boutin conte une histoire à Philip Mild : trois frères doivent construire une tour pour «guetter les pillards turcs». Mais elle s'effondre constamment. Le seul moyen d'assurer sa solidité est d'y emmurer un être humain. Les événements font que ce sera la femme du cadet qui sera emmurée qui lui est tué par ses deux frères.
On l'embrique donc. Elle demande seulement à ce qu'on laisse à l'air libre une fente, pour ses yeux et ses seins afin de pouvoir allaiter son enfant qui lui est né il y a peu. Les deux frères consentent à accéder à sa demande. On lui fait donc amener chaque jour son bébé. Et chaque jour elle