Conclusion

A) L’enfant se situe en moyenne au-delà des normes développementales à l’exception de quelques activités. Comme par exemple, monter les escaliers en alternant les pieds, sauter d’environ 30 cm, se tenir en équilibre sur un pied. Mia a plus de difficulté avec les activités en équilibre et ceux qui demande de la force dans les jambes. Par contre, ses plus grandes forces se situe au niveau du socio-affectif dans l’ensemble des activités, surtout au niveau de l’émotion avec l’adulte. L’enfant atteint d’une maladie va développer plus vite le coté socio-affectif qu’un autre enfant de son âge.

D) Nous recommandons à Mia de poursuivre ses traitements et ses rencontres avec la physiothérapeute.
B) Dans ce travail d’observation, je me suis senti particulièrement interpellé et touché. Cette expérience c’est révélée fort enrichissante sur plusieurs aspects surtout au niveau émotif. J’ai été fortement touché par la grande sensibilité et sur le côté émotif plus développé dont Milla fait preuve. En raison de sa maladie, cette adorable petite fille mûrit assez vite sur des thèmes qui, la plupart du temps, sont abordés ultérieurement. De plus, j’ai trouvé surprenant et saisissant à quel point elle était réceptive à l’environnement qui l’entoure.

C) Ce que je retire de cette observation en partie, ce sont tous les caractéristiques des enfants qu’il faut à tout prix connaître pour bien nous occuper d’eux ainsi que les compétences à développer pour intervenir adéquatement, les étapes de leur développement, leur besoins, comment les stimuler… En plus d’un savoir-faire judicieux, en raison de sa maladie cela nécessite de dialoguer avec l’enfant des sujets sur la vie, la mort et la souffrance. Je pense que les personnes atteintes doivent se sentir plus qu'aimée et au-delà ... loin de moi, qu'elles sont un fardeau, au contraire ... elles sont une merveilleuse leçon de vie. Sur le plan professionnel, cela m’a fait prendre