Selon l’opinion commune, la liberté est souvent associée à la capacité de faire « tout ce que l’on veut » sans contrainte. Si l’on part de cette idée, les lois seraient donc une entrave à notre et s’en déjouer, ne nous rendraient que plus libre.
Mais est-ce vraiment possible ? Peut-on véritablement vivre dans une société dénuée de toutes règles ? Pouvons-nous vraiment nous astreindre de toutes lois, même celles de la nature ? L’homme libre, n’est-ce pas plutôt celui qui comprend que nous sommes régis par des lois et qui utilise ces dernières pour n’en être que plus libre ?
C’est alors que nous axerons notre réflexion, sur les lois qui nous empêchent d’être libre mais sans loi notre liberté n’en serait que plus atteinte, cependant l’homme libre est celui qui agit avec raison, en autonomie avec la loi.

Si par définition la liberté est le pouvoir de faire ce que l’on veut sans entrave, alors nous pouvons penser que les lois nous empêchent d’être libres, nous laissant un sentiment d’amertume et d’insatisfaction. Cette dernière pose des cadres dont nous pensons ne pas en avoir besoin. Ainsi la disposition de radars sur l’autoroute impose aux conducteurs une limite qu’ils ne pensent pas avoir besoin car pouvant se réguler eux-mêmes. C’est pour cela qu’une majorité de la population à tendance à affirmer que la loi n’est pas forcément juste car souvent en désaccord avec nos propres désirs. L’étudiant, en est un exemple frappant. Ainsi, certains dans une grande mauvaise foi pensent, que la loi ne profite qu’aux personnes influentes. Prenons ainsi l’exemple de Maurice Papon, accusé de complicité de crime contre l’humanité, finalement gracié pour son état de santé alors qu’il n’avait pas purgé la moitié de sa peine. Dans l’opinion commune, toutes personnes coupables devraient purger sa peine sans grâce, quelque soit son crime. Nous pouvons donc penser que seul l’insoumis serait libre, car s’affranchissant des lois, dans la mesure où la loi nie notre désir en