MALTER Chloé BTS1

Les aberrations de l’affaire Omar Raddad.
Dans l’affaire Omar Raddad, beaucoup d’aberrations ont soulevées les critiques et les anomalies dans le déroulement de cette affaire. En effet après avoir étudié cette affaire on peut en relever plusieurs :
Dans un premier temps, sur le lieu du crime, aucunes empreintes d’Omar n’ont étés relevées. De plus les spécialistes en graphologie ont constatés que les écritures de sang n’étaient pas écrites par la victime : Mme Marchall, puisque celles-ci ne représentent pas sont écriture et de plus cette femme qui était très cultivée n’aurait pas pu faire une telle faute d’orthographe (Omar m’a tuER).
Dans un second temps on peut constater que le corps de la victime à été incinéré une semaine après le meurtre, ce qui a empêché les médecins de faire une autopsie pour essayer de comprendre au mieux la mort de Mme Marchall, l’ADN n’a donc pas été étudié. Mais ce n’est pas tout, toutes les photos de Ghislaine Marchall ont été détruites par les policiers, mais pourquoi ? La question se pose toujours. Aurait-il pu y avoir sur ces photos des éléments pouvant disculpés Omar Raddad ?
Concernant l’alibi d’Omar Raddad, on peut remarquer dans le film reprenant cette affaire, qu’un journaliste-écrivain constate très précisément qu’il est impossible qu’Omar soit le meurtrier, puisque le lapse de temps entre sa pause du midi et la mort de Mme Marchall, confirme que Mr Raddad n’a pas pu être au moment du meurtre chez Madame Ghislaine Marchall. Mais ce n’est pas tout, une des plus grosses aberrations est la suivante, la date de mort de Mme Marchall est datée du lundi 24, mais à ce jour Omar se trouvait à Toulon et ceci à été prouvé. Est-ce pour cela que dans le rapport l des médecins rédigeant celui-ci ont daté la mort de Mme Marchall du 23 ? Il est évidement que trois fautes de frappes n’ont pu être commises sur la même date.
Pourquoi tant de choses nous font-elles penser que cette affaire cache certaines choses, et que