On ne badine pas avec l'amour de musset scéne 5 acte ii (intro du commentaire)
Tout d’abord, Perdican dénonce l’amour divin. Premièrement il s’adresse violemment à Camille, en lui posant des questions rhétoriques destinées à la faire réagir comme « savent-elles », il l’interpelle strictement et directement en lui demandant froidement « sais-tu », il remet même en cause Camille en lui disant des mots durs comme « Malheureuse fille ». De plus, Perdican dénonce violemment le comportement des nonnes, il leur reproche d’avoir transformé et manipuler Camille comme lorsqu’il dit « Ah ! Comme elles t’ont fait la leçon ! » ou encore « le masque de plâtre que les nonnes t’ont plaqué ». Perdican utilise même l’ironie pour rendre la dénonciation encore plus forte comme « Ces femmes ont bien parlé ; elles t’ont mise sur le droit chemin ». Il dit aussi que les nonnes rateront leur but malgré tous les efforts, il les condamne en disant « Le ciel n’est pas pour elle ». Il parle à Camille comme s’il lui donner des ordres ou une leçon « Réponds ce que je vais te dire ». Perdican va même jusqu’à dire que le comportement des nonnes est un crime comme dans ce passage « C’est un crime qu’elles font de venir chuchoter à une vierge des paroles de femmes ». Enfin, Perdican affirme que l’amour divin est une imposture et un mensonge. Il dit que les religieuses ont menti, qu’elles ont appris à Camille des choses fausses, c’est de l’ordre de l’apparence et de la fausseté, comme dit dans ces extraits « Le mensonge de