Organisation du travail
I. PST et travail à la chaine
Frederick Taylor était ouvrier puis ingénieur. Il met en place l’OST pour ne pas avoir de perte de temps et de productivité
Règles : 3 principes :
- division horizontale, chaque ouvrier a une tache précise. On parle de partiellisation du travail
- division verticale, un bureau des méthodes décompose les opérations en gestes simple à réaliser
- Le chronométrage
Deux conséquences :
- augmentation des gains de productivité
- augmentation des salaires journaliers
Mais les gains de production augmentent plus que les salaires d’où une réduction des coûts de production
Deux apports de Ford :
- lignes de montage (convoyeurs). Du coup gain de temps car l’ouvrier ne se déplace plus, et les coûts de manutentions sont réduits
- Pièces standardisées. Facilite l’assemblage dans le cadre de la chaine de montage
Deux avantages principaux :
- Une augmentation de la productivité
- Une production en grande série (production de masse qui permet de réduire les coûts de production)
« Five dollars day » pour motiver les ouvriers et éviter un turne over trop important. De plus maintenant même les ouvriers peuvent acheter des Fords !
A partir des années 50, le travail à la chaine se généralise en Europe. Il se traduit par un rythme de travail imposé à l’ouvrier par les machines
Les OS (ouvriers spécialisée) exécutent un travail qui ne nécessite aucune initiative, aucun savoir faire.
Cadence trop élevées imposées par les machines
II. La crise du Taylorisme et nouvelle forme d’Organisation de Travail
Années 60-70 remise en cause de l’OST → absentéisme → turne over trop élevé
Du coup la production diminue
Les ouvriers se révolte car dans les années 60-70 le niveau de formation augmente. Les ouvriers rejettent un travail où ils ne peuvent prendre d’initiatives
Revalorisation du travail → taches