Orsay
Le Salon 1848 – 1870
On retrouve les dominants de la première moitié du 19eme siècle : romantisme, néo-classicisme. L’épique est fortement marqué par la persistance de structures qui constituent ce qu’on appelle le système des Beaux – Arts. Les artistes sont amenés à se situer par rapport à ce système. La plupart d’entre eux en acceptent les règles et obtiennent généralement la faveur du public et de la critique.
Le principe :
Les peintres doivent respecter un certain nombre de principes. Ceux – ci sont progressivement figés dans le temps et on fini par constituer un carcan contre lequel se sont insurgés peu ) peu des artistes et des critiques. La reconnaissance de courants novateurs du dernier quart du 19ème siècle. (dont l’impressionnisme) opérée, un peu à retardement, par l’opinion du 20ème siècle a entrainé un rejet global des principes de l’Académie et le terme académisme a pris une connotation péjorative. * Respecter la hiérarchie des genres
Enoncée en 1667. Les tableaux a sujets religieux, mythologiques ou historiques qui doivent être porteurs d’un message moral. Viennent ensuite ne valeurs décroissante les scènes de la vie quotidienne, les portraits puis les paysages et enfin la nature morte. On utilise un grand format pour la peinture d’histoire et un petit format pour la nature morte. Ceci perdure pendant tout le 19ème siècle mais elle est progressivement remise en cause. « La glorification de l’homme et des beautés de la nature tel parait être le but de l’art dans l’avenir » Théophile GAUTIER. * Affirmer la primauté du dessin sur la couleur mettre l’accent sur l’aspect spirituel et abstrait de l’art : le trait ne se rencontre pas dans la nature. L’artiste l’utilise, ainsi que les contours et l’ombre. Pour créer l’illusion des trois dimensions sur une surface plane. La couleur à un rôle secondaire et son apprentissage n’est pas jugé nécessaire. * Approfondir l’étude du nu
Travail à partir