football, qui se jouera en 2010 en Afrique du Sud, est annoncée comme un moment important pour l’Afrique du Sud et pour l’ensemble du continent.

Le rapport au politique des équipes, des associations et des fédérations de football, dans ses multiples dimensions locales, nationales ou internationales Darby a bien montré le rôle important des organisations supranationales de football dans les décolonisations de l’Afrique et dans le mouvement anti-apartheid, ainsi que l’influence du football africain dans la politique intérieure de la FIFA. Récemment, il y a eu plusieurs conflits entre les gouvernements nationaux et la FIFA portant notamment sur « l’ingérence » de cette dernière dans les associations nationales. Il est de fait assez courant que des leaders politiques locaux ou nationaux mobilisent le football comme une ressource. On peut donc se demander quels sont les liens entre football et organisations politiques partisanes et s’interroger sur les rapports du monde politique au football en général.

Le déclin de la plupart des ligues nationales africaines et des clubs en Afrique concurrencés par le succès médiatique mondial des matches des ligues européennes (la Premier Ligue anglaise, La Liga, etc) pourra aussi être mis en relation avec les « migrations » des joueurs africains en Europe dans une économie du foot de plus en plus internationalisée. troduction Aspect économique
Chiffres coupe du monde 2010 ( Afrique du sud ) :

3,7 milliards de dollars (environ 3 milliards d'euros) : c'est ce que l'Afrique du Sud a dépensé pour organiser la Coupe, entre la construction et la rénovation de dix stades et surtout l'amélioration des infrastructures de transports (chemin de fer, routes et aéroports) et d'accueil.
159 000 : c'est le nombre d'emplois créés en Afrique du Sud pour que la première Coupe du monde à se dérouler sur le sol africain soit réussie et que tout soit prêt à temps.
2,1 milliards de dollars (environ 1,67 milliard d'euros) : ce sont les