Ourika
Duras utilise plusieurs champs lexicaux pour décrire Ourika et sa découverte. Le premier champ lexicale est celle de la solitude extrême. Ce champ lexicale apparaît clairment dans les mots suivant « la perte de ce prestige », « illusions », « tout disparu », « isolement », « toute seule », « j’etais déplacée », et « pour toujours seule » . Cette solitude est défini précisément dans cette petite extrait « Il y a des illusions qui sont comme la lumière du jour ; quand on les perd, tout disparaît avec elle ». Cette extrait explique qu’Ourika était heureuse en vivant avec son inconscience de ses différences aparant. Mais, maintenant qu’elle voit ces différence elle ne peux plus être incoscient, elle doit réagir. Cette solitude se precise avec le champ lexical du choque qu’endure Ourika et la réaction de sa famille. On peut voire cela dans cette extrait « Quand je revins chez Mme de B., tout le monde frappé de mon changement ; on me questionna : je dis que j’etais malade ; on le crut ». Ourika sent que tous le monde, meme sa famille voit sa différence et est choqué comme elle. Ce n’est pas le cas. Pour cette raison elle sens qu’elle est toute seule, que personne ne la comprend.
Cette état d’extreme solitude ce develope en des