Où est le cœur
Devant la porte, le parfum des jacinthes m’intoxique. Chaque printemps, c’est le même parfum à la porte. Cette petite maison vieille me semble une peu fatiguée. Le dernier cinquante années était plein de la famille, des temps heureux et des temps difficiles. Une vie complète pour cette maison. Les trois chambres modestes ont changé lentement pendant quelques années. Ma mère a changé sa décision de temps en temps. La lumière de toutes les fenêtres ne changeait pas. Toujours la lumière du matin à l’est et la lumière du soir à l’ouest. Ma chambre favorite, qui s’appelle la chambre d’avant, a les murs jaunes et c’est plein de plantes de toutes sortes. Les conversations de cette chambre me manquent.
Je me souviens ma mère, toujours en train de faire quelque chose. Parfois elle fait la lessive, parfois elle prépare des repas délicieux, mais c’est toujours quelque chose. Du café est important dans cette maison : chacun bois du café au matin et au soir et l’odeur du café est toujours prés. Les fenêtres de la salle à manger ont une belle vue du jardin. C’est un de mes rêves d’avoir un jardin comme cela. Les courges, les tomates, les gombos, les pastèques, et toutes les fleurs sont les plus frais, les plus bels du monde. A moi.
Tous de cela est un souvenir d’enfance pour moi, et tous me sens comme il se passait hier. C’est frais et prés du cœur. Les goutes, les odeurs, les bruits et les mémoires dans chaque chambre, ils sont permanent. Le cœur me