Pa r i s , t e x a s
Dans l’histoire, Walt fait des panneaux publicitaires. C’est d’ailleurs sur son lieu de travail qu’on le voit pour la première fois. Le premier plan où il apparaît, il est au téléphone devant une image, qui donne l’impression d’un décor de cinéma. On installe le personnage dès le début dans du « faux ». Contrairement à Travis qui apparaît perdu dans le désert Mojave. Certains plans de Walt rappellent se qu’on pourrait appeler un inconscient collectif. En effet ces derniers rappellent des images publicitaires. Ces dernière, filtrées, donnent parfois aux décors une impression de faux, artificiels et renforce cette idée de « spot publicitaire ». On voit presque tout le temps Walt avec son paquet de Marlboro et rappel justement les vieille pub avec le Cow-Boy. Quand Travis cherche l’image d’un père, il regarde dans un magazine. On reste là dans l’image, la représentation, on n’est pas dans le vrai. Et quand il prend « l’apparence » du Père riche, aidé par la Seniorita, il met les habits de son frère. Se qui confirme le fait que Walt est une sorte d’image, de modèle. La scène qui suit, quand travis attend sont fils de l’école une scène comique où il chang la forme du chapeau peut signifier un certain mal aise dans ces habits. S’en suit la scène du trajet qui peut rappeler «the Kid» de Chaplin. Dans la scène où Travis vient annoncer à son frère qu’il part chercher Jane on voit donc Walt sur le « support » publicitaire, il fait parti intégrant de la pub. Il est parfaitement bien, dans son élément, contrairement à Travis qui lui « a peur de tomber ». Cette peur est forte symboliquement et s’accroche au personnage. Travis ne fait pas parti de ce monde, son frère, lui, oui.