Bernard Assiniwi, grand humaniste et excellent écrivain, a consacré la plus grande partie de sa vie à tenter de connaître et faire connaître la richesse et la diversité des cultures autochtones. Il est également l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur l’histoire et la vie des amérindiens au Canada. Dans l'œuvre publiée en 1976, le Bras Coupé, l’auteur représente la domination des britanniques au 19ème siècle par la colonisation des territoires autochtones. En fait, un des amérindiens, Minji-Mendam, s'est fait couper le bras par six hommes blancs injustement. Dans le passage présenté de l’ouvrage, l’auteur illustre l’impact de l'incident où Minji-Mendam se retrouve dans une situation qui nécessite de faire un choix entre deux solutions contradictoires. Il a le choix de pardonner les hommes qui lui ont fait mal ou de se venger.

En premier lieu, le nom, Minji Mendam signifie "celui qui se souvient". Cette signification nous permet de faire un lien avec son histoire. Après avoir été agresser par les blancs, il se cacha huit lunes dans la forêt afin de se reprendre en force physiquement en aillant en tête le désir de se venger. " Il fallait que ce MacIntosh et les cinq autres hommes vivent une peur et une douleur au moins égale à la sienne". Cette dernier citation nous dit davantage sur le colère et la haine qu'il ressent pour ces hommes blancs. Il veut absolument prendre vengeance pour que justice soit rendu mais on peut remarquer aussi que ce n'est pas la seule raison. Il cherche vengeance aussi pour réparer son orgueil. La citation, " il avait donné sa parole, il la respecterait jusqu'au bout [...] " nous démontre une des raisons pourquoi il doit se venger. Mais est-ce une bonne raison ? Ensuite, puisque le territoire avait été colonisé par les britanniques, les blancs dominés. Ils été en haut de l'hiérarchie sociale. " Elle ignorait sans doute [...] il aurait été sévèrement puni pour ce geste

En deuxième lieu, l'amérindien a le choix de pardonner les