Parkinson
Un neurone est une cellule qui traite les informations et qui les fait circuler par signaux électriques. Il est composé d’un noyau responsable de la synthèse de l’ADN et de deux types de filaments conduisant le message nerveux appelés dendrites et axone. L’axone émet l’information d’un neurone vers un autre qui la capte grâce aux récepteurs dendrites. Ces moteurs de l’information rencontrent une région intermédiaire entre deux cellules appelée synapse. C’est dans cette partie que les neurotransmetteurs, libèrent leur information. Cette substance chimique permet à chaque neurone de communiquer entre eux. Un dysfonctionnement de ses neurotransmetteurs entraîne des anomalies comme la maladie de parkinson.
La maladie de parkinson se manifeste par une dégénérescence des neurones au niveau du locus Niger et du locus coeruleus. Les zones du cerveau affectées sont les plus importantes dans la production de dopamine et d’acétylcholine. Ces neurotransmetteurs lorsqu’ils sont à quantité égale permettent de contrôler les mouvements corporels. Une personne atteinte de la maladie à un déficit de dopamine, rompant cet équilibre. Elle commence par avoir des tremblements au repos et en période de stress, des akinésies, des gestes saccadés et rigides. Lorsque ces symptômes apparaissent, les médecins considèrent que 60 à 80 % des cellules motrices ont déjà été détruites. Cette perte subite de neurones est le plus souvent du à une forte période de stress, un dysfonctionnement cellulaire ou une accumulation de protéine dans le locus Niger. Des chercheurs se tiennent à dire que des facteurs génétiques ou externe comme l’exposition à certain pesticides ou au monoxyde de carbone pourraient aussi en être une des causes importantes. Les troubles moteurs sont les symptômes fréquents chez le parkinsonien. Cependant, d’autres surviennent et sont différents selon