Partage de la va
Plusieurs facteurs compliquent les possibilités ou les décisions des entreprises à investir. Des politiques d'Etat au comportement de l'économie extérieure, en passant par le partage de la valeur ajoutée entre les salaires et les profits et les modes de financement des investissements. On constate que les entreprises sont poussées à anticiper les fluctuations de l'économie en vue d'investir correctement. Mais la décision d'investir repose sur l'équilibre fragile entre la logique de rentabilité (les profits de l'entreprise) et la logique de débouchés (la demande des consommateurs).
Le devoir présente tout d'abord la réaction de l'investissement lorsque les entreprises répondent à une logique de débouchés, puis comment réagit l'investissement lorsque prévaut une logique de rentabilité. Extrait du document: La logique de rentabilité met en avant le partage de la valeur ajoutée en faveur des profits, une entreprise qui a un taux de marge élevé aura une volonté d'investir plus forte et pourra s'autofinancer plus facilement, ce qui lui enlève les contraintes des financements externes ( endettement, perte d'autonomie des patrons ... ), cela influe énormément dans le choix de l'investissement. L'investissement peut-être compatible avec une remontée du taux d'autofinancement, c'est ce qui se passe à partir de 1987. Cependant, les entreprises n'ont pas pu rester dans cette situation trop longtemps car les dépenses d'investissement devenaient trop lourdes, l'investissement devint faible et les placements financiers se sont trouvés favorisés par la conjoncture, et cela dans le but de désendetter les