pascal pensée
Le recueil « Les mains libres » peut se définir comme une œuvre surréaliste, une citation l’indique clairement « la dictée de la pensée en l’absence de tout contrôle exercé par la raison en dehors de toute préoccupation esthétique et morale ».Les deux créateurs en 1937 Man Rey et Paul Eluard, deux auteurs surréalistes et très influents à cette époque, ont en effet produit cette collaboration laquelle les dessins ont précédés l’écriture poétique ce qui laisse naître une œuvre originale ,hors du communs .Cette est l’objet d’une liberté de représentation qui invitent les auteurs à utiliser le rêve ,l’inconscient et l’imagination qui sont l’origine de leur travail . « Les mains libres » est donc un recueil très marqué par le surréalisme, et l’on ne s’étonnera pas d’y trouver André Breton (l’homme déclencheur de ce mouvement) dans la section « détail » qui nous montre son profil. Il conviendra de se concentrer dans les quatre premiers poèmes pour voir si cela fait l’objet d’une contestation ou d’une affirmation. Pour la contestation se serai plutôt la mort et pour l’affirmation la vie.
Fil et aiguilles affirme la vie avec des paysages montagneux qui font référence à la nature le fils d’aiguilles peut faire penser à une naissance de création, le dessin affirme la vie il pourrai cependant être une contradiction avec le poème d’Eluard qui suggère la mort .Les premiers mots « Sans fin donner naissance » font référence à la vie, à un renouveau mais les autres vers insistent sur la mort car les passions sont sans « corps » les étoiles sont mortes. Si on fait le lien entre le dessin et le poème il y a une initiation à la naissance de quelque chose mais cela finit par le vide .L’aiguilles donnerai l’illusion d’un corps humain ,on pourrai penser au corps de femme avec ses courbes peut être ce lien avec le mot « passion » qui aurai pour but de faire naître une passion amoureuse .Ce premier poème pourrai affirmer le fait de libérer la vison