Pastiche charles ferdinand ramuz

354 mots 2 pages
Pastiche de Charles Ferdinand Ramuz

Luka Caratsch
1M05

La Montée des vaches:

Comme chaque année, c'était l'heure d'accompagner les vaches à l'alpage pour qu'elles puissent manger de la bonne herbe fraîche. Cependant, cette période n'était pas joyeuse pour tout le monde, c'était pour les femmes qu'elle l'était le moins. Elles étaient triste, triste, vraiment triste de voir leur mari partir vers la montagne, et les femmes n'avaient pas confiance en la montagne ! Pourtant, qu'elle était belle cette montagne, ses belles forets de sapin vert, ses beaux pâturages vert également, les mêmes pâturages qui permettraient aux vaches de se nourrir dans peu de temps, cette montagne était magnifique, plus que les autres montagnes alentours, plus petites, n'étaient magnifique.
C'était donc l'heure pour Bertrand de donner ses adieux à sa belle, mais petite femme, Yvette. Ils s'étaient mariés il y a quelques mois, et ce fut un magnifique mariage, qui eut lieu dans cette magnifique église au beau milieu de la montagne. Il y avait de la neige partout autour de cette petite église et Bertrand, aidé de son frère Gérard, a dut déneiger le chemin menant du village jusqu'à cette église, ça lui a pris du temps ! Du temps qu'il a dut prendre à la place de travailler ! Mais ce n'était pas grave, il aimait Yvette de tout son cœur.
L'heure des adieux approche, et les femmes du village fondaient en sanglot, les mêmes sanglots que les années précédentes coulaient sur leurs joues et tombaient par terre.¬¬¬¬¬¬ Les hommes, eux n’étaient pas si triste de partir dans la montagne, ils adoraient avoir chaque année un petit moment de liberté, c’est que la vie était dure pour eux, plus dur qu’avant leur mariage ! Ils se sentaient opprimés par leur femme, et à ce qu’on dit, dans cette belle montagne, vivent de belles bergères et chaque années les hommes se réjouissent de les retrouver dans les pâturages où leurs vaches broutent de la bonne herbe.
L’heure des adieux arrivent et Bertrand

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