Paule et virginie
C’était un soir de Novembre, Mr, S n’était pas encore rentré. Ce n’était pas son habitude. Il faut savoir que Mr S était un homme très riche avec des ennemis à tous les coins de rue. Cette période était la moins propice pour avoir des ennemis avec la révolution qui s’annonçai tout les nobles craignaient pour leurs titres et leurs privilèges.
Mr S lui était aimé par la population de Paris et jalousé par ses nobles. Sa gentillesse, sa bonne humeur, sa compréhension et surtout se qu’il avait fait pendant la famine les épidémies et la peste.
Moi, je le respectais, je l’admirais, je voulais tellement devenir comme lui. Moi simple serviteur d’un grand homme. Je savais qu’il se passait quelque chose de louche et peut être dangereux. Tout de suite, j’ai donné l’alerte. Le calèche de la milice est passé puis repassé mais ne l’a pas trouvé. Toute la maison de Mr s était très inquiète. Et pourtant une ou deux heures plus tard il est rentré. Où était-il? Qu’avait-il fait? Je ne le sais pas, mais une chose est sûr: il s’était passé quelque chose d’inhabituel. Il ne dit pas un mot et alla directement se coucher.
Les gens de la maison était intrigués, mais pour moi c’était clair, la révolution était annoncée. Une nouvelle ère allait débuter. Pourquoi? Je ne sais… Comment? Encore moins, mais c’était évident.
Mr S d’un naturel calme et serein n’a pu changer de visage qu’a l’annonce d’une nouvelle aussi grave.
Il savait que cette révolution n’allait pas se passer autour d’une tasse de thé et que tous les nobles seraient pris à partie, bon ou mauvais.
Il savait que sa vie était en jeu. il prie tout de même la décision de rester car son départ aurait éveillé les soupçons des autres nobles. Malgré son statut il était favorable au changement il souhaitait une révolution non violente, ne pas faire régner la paix en faisant la guerre.
Ses idées étaient bien plus profonde que cela, il avait envie d’un monde libre avec l’abolition des