penis érotique
Nous venions de terminer une de ces siestes coquines qui laissent libre cours à notre appétit sexuel et nous permet de faire exploser les fantasmes qu’une atmosphère nocturne ne nous engagerait nullement à révéler. Sur la porte, des coups secs, mais timides, vinrent perturber l’engourdissement que les mouvements continus d’une volupté partagée avaient engendré. Péniblement je me levai, enfilai mon caleçon pour cacher ma virilité pourtant honorable et me dirigeai en traînant les pieds vers la porte d’entrée, derrière la vitre de laquelle se profilait une silhouette féminine.
La porte s’ouvrit sur un être des plus sensuels et des plus attirants que j’aurais pu difficilement imaginer un jour venir frapper à ma porte. Ma compagne dormait, semble-t-il, à poings fermés, car je ne l’entendais pas m’interroger sur le visiteur importun.
Une jeune femme, qui devait avoir tout au plus vingt cinq ans, me demanda si j’avais vu son ami, qui aurait dû arriver hier soir dans la villa située un peu plus haut, sur le chemin de la plage. Elle avait un corps idéal, des seins bien ronds qui transparaissaient sous son haut en lin. J’avais l’impression qu’ils étaient en érection, ou bien était-ce leur état permanent, ce qui les rendait encore plus captivants.
- Non, répondis-je, nous n’avons vu personne. Ce matin les volets étaient fermés comme hier et les jours précédents.
Elle parut contrariée, ne sachant que faire dans une telle situation. Elle se risqua, résignée :
- Bon alors je vais devoir dormir à la belle étoile !
J’hésitai un moment, mais la tentation de passer la nuit sous le même toit que cette créature idéale me fit prononcer :
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