user icon

Penser est-ce dire non

320 mots 2 pages
Montre plus
oui penser implique toujours une negation comme le pense le philosophe Alain c'est commencer par nier ce qui parait evident, vrai certain reel. Toute pensee a pour origine une remise en cause un doute.c'est mettre en doute les certitudes etablies pour ne pas se laisser berner par les illusions du monde;
IIpenser c'est affirmer c'est dire oui dans un 1 temps penser implique negation c'est insuffisant, cette phase de negation doit etre suivie d'une phase de creation.. nier ne suffit pas pour penser penser c'est depasser la negation penser c'est dire oui. conclusion • I) Penser c'est nier.
a)La pensée est un rejet de apparences.
b) Penser c'est rejeter les certitudes.
c) La pensée rejette les traditions.
• II) Penser, c'est dire "OUI".
a) La négation est stérile (les sceptiques).
b) La négation n'est qu'uné étape (Descartes, Hegel).
c) Amor fati !

- Penser : exercer une activité proprement intellectuelle ou rationnelle ; juger ; exercer son esprit sur la matière de la connaissance ; unir des représentations dans une conscience. Très proche de réfléchir, mais néanmoins plus global et général.

- Dire : exprimer ; exprimer par des signes ; communiquer.

- Non :adverbe de négation.

- Dire non : nier, refuser. • Quel est le sens de l'intitulé ? Exercer une activité intellectuelle ou rationnelle, juger, est-ce « nier » ou « refuser » ? Remarquons qu'on nous demande de nous prononcer sur une définition possible de l'acte de « penser », différente des définitions classiques qu'on a utilisées plus haut, ce qui pose problème et semble être un paradoxe. • Dégagez maintenant le questionnement inhérent à cette interrogation. Réfléchir, ne serait-ce pas nier ou mettre à distance les croyances primitives ? Penser, n'est-ce pas alors clouter ? Ainsi, n'est-ce pas dans ma capacité de non-adhésion que réside ma liberté ? Liberté et pouvoir de négation sont-ils liés ? Cette dernière question constitue le problème soulevé par le

en relation

  • Comment descartes en vient-il à concevoir l’être humain dans les termes d’une dualité esprit/corps?
    533 mots | 3 pages

    Or, penser nécessite une certaine forme de raisonnement mental. Ainsi, par la logique de sa méthode, il remarqua que «je pense, donc je suis», qui est indubitable. Affirmant ensuite que pour penser, il n’avait ni besoin d’appartenir à un lieu, ni qu’il dépendait d’aucune chose matérielle. De ce fait, il en conclut qu’il était une essence, une âme, complètement différente et non-rattachée au corps : une «substance pensante».….

    montre plus
  • Fiche synthèse 1 philo
    437 mots | 2 pages

    Pensée = conscience. Descartes définit l’existence à partir de la conscience, or 2 critique = il n’est pas sur que toutes pensées sois consciente, il n’y a pas que la conscience qui nous définit (corps). 2) La conscience de sois n’est pas une connaissance de sois Viant (1734-1804) distinction entre conscience et connaissance Viant : « Je n’ai aucune conscience de moi tel que je suis, mais je me connais uniquement tel que je m’apparaît moi même » personne ne peut se connaître objectivement Objectivité = valeur d’une connaissance scientifique différent de la subjectivité.….

    montre plus
  • Penser c'est dire non
    1847 mots | 8 pages

    Ce texte d'Alain porte sur la nature de la véritable pensée : penser, c’est dire non. Alain affirme dans ce texte que réfléchir c'est nier ce que l'on croit en disant non à sa propre pensée et pas seulement à ce qui nous est extérieur. Nous pouvons donc nous demander comment peut-on véritablement penser ? D’après Alain, penser est-ce s’opposer à toute forme d’opinion reçue ou alors penser est-ce une activité intellectuelle examinant les opinions sous toutes ses formes, en la problématisant et en prouvant sa véracité ? Nous verrons dans un premier temps de la ligne 1 à 5 (jusqu’à « d’autre combat ») la thèse qu’Alain met en avant dès la première phrase.….

    montre plus
  • Kant
    821 mots | 4 pages

    Mais l’acte de penser, c'est aussi et peut-être surtout celui de juger : lorsque nous prenons position sur l’une ou l’autre question ou lorsque nous faisons des choix délibérés, nous pensons que les choses sont ou doivent être ainsi que nous le déclarons. Ainsi la pensé peut être interprété de différentes façons. Alain dit, en parlant de la dernière façon de penser, que nous venons d’évoquer, affirme que « penser, c'est dire non ».Nous pouvons donc nos demander si penser se résume au fait complexe de se dire non. Le thème du texte et la vison de l’auteur est posé des la première phrase, en effet Alain définit sans ambigüité le sens du mot penser : « Penser, c’est dire non.….

    montre plus
  • Thomas d'aquin
    1703 mots | 7 pages

    Cette liberté est-elle remise en question dès lors que notre pensée s’exprime ? I/ Définitions Acte de penser : à partir de quoi et sur quoi je peux m’appuyer pour penser Penser est une démarche de réflexion construite avec notre histoire. Notre sensibilité, notre corps, notre éducation, nos relations, notre expérience, nos désirs, nos sentiments, nos valeurs interfèrent dans la construction de nos pensées Il est nécessaire de peser, comparer, calculer, faire le tri. Penser, selon Kant, c’est « connaître par concepts et juger ».….

    montre plus
  • Philo 2
    895 mots | 4 pages

    Mais encore… - Il n’apporte pas vraiment de solution lorsqu’il nous fait part de ses pensées. Je tiens à te souligner qu’une pensé et toujours faites de nuances et d’ambiguïté et de point qui reste obscure. Ce qui fait de René Descartes un penseur et non un idéologue car il nous explique pas tout et se contredit souvent.….

    montre plus
  • Lettre
    914 mots | 4 pages

    « s’éveiller, éclore » : manifestation de l’inconnu, comme de son propre mouvement. « j’assiste à ma… » : dédoublement. « je la regarde, je l’écoute » : deux propositions brèves et parallèle : spectateur, extérieur, attention accrue : le poète se met à la disposition de la pensée. Pensée = action : « un coup d’archet » contre « symphonie » : caractère involontaire de la création. Un long travail de gestation (« dans les profondeurs ») ou une illumination qui s’impose.….

    montre plus
  • Peut-on apprendre à penser?
    1366 mots | 6 pages

    Peut-on apprendre à penser? Introduction On dit généralement que le pur « don » n’existe pas, et qu’au contraire tout s’apprend. Il n’y aurait pas d’incapacité logique ou matérielle qui nous Interdirait d’apprendre un savoir ou un savoir-faire : tout serait en droit susceptible d’être appris ou enseigné, pour peu que l’on fournisse un travail intellectuel (au moins de mémorisation).….

    montre plus
  • Peut-on penser sans préjuger ?
    644 mots | 3 pages

    Exemple : calculer, imaginer, rêver, désirer, etc. 2. Penser, c’est juger : quand on commence à penser et que l’on juge, on est inévitablement en train de préjuger. 3. Reste alors la question de savoir si l’on est pour autant prisonnier.….

    montre plus
  • Aspect lumiéres
    444 mots | 2 pages

    Elle a tué le cœur et l’esprit pour garder l’être et le paraitre Jeu hypocrite de la société dénoncée II/ « l’expression des figures » / elle correspond aux règles de bienséances devant les autres 2)- On retrouve le champ lexical de la pensée : « profonde réflexion » (l.7), « réfléchir » (l.12), « ma pensée » (l.33), « penser » (l41), « science » (l.52) - Elle se présente avant tout comme une intellectuelle : cf.….

    montre plus
  • Lecteur
    287 mots | 2 pages

    Penser par soi-même, est-ce penser seul? "Penser", c'est exercer une activité proprement intellectuelle ou rationnelle; c'est exercer son esprit et sa raison pour comprendre ce qui constitu notre connaissance. C'est former des idées dans son esprit, concevoir des notions par l'activité de l'intelligence et de la réflexion. Penser est une capacité et une caractéristique propre à l'Homme. "Soi-même", indique l'idée d'identité et d'appartenance.….

    montre plus
  • Mes pensées sont elles miennes ?
    2500 mots | 10 pages

    L'idée de ne pas penser ses pensées semble, à première vue, contradictoire. A priori, il paraît incontestable que nous sommes bien celui qui pense à ce à quoi il pense. Tout aussi logique donc que ce soit nous qui décidions de penser ce dont à quoi nous sommes entrain de penser. Il en découle donc, premièrement, que mes pensées sont miennes. Puisque, à qui d'autre pourraient-elles être si elles n'étaient pas miennes ?….

    montre plus
  • La liberté de penser consiste-t-elle a penser n'importe quoi ?
    1773 mots | 8 pages

    Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison.….

    montre plus
  • Les liaisons dangeureuses
    774 mots | 4 pages

    Champ lexical de la pensée : « profonde réflexion », « réfléchir », « ma pensée ». Champ lexical de l’observation : « regard distrait », « coup d’œil pénétrant ». Les étapes même de l'éducation se rapprochent d'une démarche….

    montre plus
  • Texte d'alain "propos sur le pouvoir" essais d'explication de texte
    467 mots | 2 pages

    Dans cette explication de texte, nous étudierons l’extrait « Penser, c’est dire non » jusqu’à « Qui se contente de sa pensée ne pense plus rien ». Dans cet extrait, Alain expose sa thèse dès la première phrase : « Penser, c’est dire non. ». Mais que signifie penser? En philosophie, comme dans la vie ordinaire, penser se définit comme un ensemble de faits produit par l'action de l'esprit.….

    montre plus