Écrivain et philosophe du dix-septième siècle, François Marie Arouet, plus connu sous le nom de Voltaire, est à l’origine de plusieurs œuvres historiques, pièces de théâtres et écrits philosophiques. Par ses œuvres, il est devenu un des plus grands écrivains français du dix-septième siècle. Candide, parut d’abord sous le titre de «Candide ou l'Optimisme, traduit de l'allemand de Monsieur le Docteur Ralph», est un conte philosophique publié en 1759. Pour cette œuvre, Voltaire était alors dans le contexte de la guerre de Sept Ans de 1756 et du tremblement de terre de Lisbonne du premier novembre 1755. Candide, un jeune garçon vivant dans le château de Thunder-ten-tronckh, est chassé du monde idéal par la suite d’une «Leçon de physique expérimentale» et il ne peut s’empêcher de penser que le monde ne fonctionne que de déceptions en déceptions. Les critiques ont déduis la naïveté même de Voltaire par le biais de Candide, puisque Voltaire croyait autrefois que Frédéric II aurait subit la défaite et c’est alors qui se rend compte de sa naïveté. Dans cette analyse, il sera question de démontrer en quoi, pour Voltaire, l’ironie de ce dernier lui sert à critiquer à la fois la guerre et la philosophie optimiste. Pour ce faire, il sera question de deux principaux arguments, soit la critique ironique par rapport à la guerre que Candide traverse et en second lieu la critique de voltaire à l’égard de la philosophie optimiste, c’est-à-dire l’explication des évènements négatifs survenant sur la Terre par une « harmonie préétablie ».
Premièrement, Candide critique ironiquement la guerre, puisqu’il porte des propos sarcastiques