Perception des proies par les prédateurs
Introduction
I-Perception d’un prédateur aérien : l’aigle
II-Perception d’un prédateur marin : le requin
III-Perception d’un prédateur terrestre : le caca
Conclusion
La perception est définie comme étant une faculté bio-physique qui relie l’action du vivant au monde et à l’environnement. En fait, le mot « perception » désigne la capacité sensitive ( l’instinct par exemple ), c’est la perception sensorielle. C’est une perception immédiate que nos sens nous livrent, comme des informations directes.
Les prédateurs en général, sont des organismes vivant qui mettent a mort des proies pour survivre ou pour nourrir leur progéniture, afin d’attraper leurs proies, les prédateurs les perçoivent grace a leurs sens que nous étudierons au cours de trois parties dans lesquels nous distingueront des prédateurs aux capacités uniques des différent s milieux physiques : dans un milieu aérien a travers l’aigle, un milieu aquatique via le requin , un milieu terrestre grâce au lion .
I-L’aigle
L’aigle n’ayant pas d’odorat, sa perception du monde passe donc par l’utilisation d’un système optique d’une étonnante efficacité. Certaines structures spécifiques sont à l’origine de cette dernière. Comme tous les oiseaux, l’aigle possède des yeux relativement fixes sur leur orbite, désavantage qui est compensé par une grande mobilité au niveau du cou. Ce rapace, avec ces yeux en position frontale et sa capacité extraordinaire de rotation de la tête avoisinant les 270° , a un champ de vision binoculaire (Vision binoculaire, formation simultanée sur la rétine des deux yeux de deux images d’un même objet, sous un angle différent, ce qui donne la perception du relief) quasiment unique parmi le règne animal.
L’œil de l’aigle, dont le globe oculaire est asymétrique, est plus gros que celui de l’homme et de forme télescopique, ainsi l’image qui se projette sur la rétine se trouve naturellement agrandie exactement comme lorsque l’on