Petite pensées

653 mots 3 pages
J'ai toujours pensé que la vie était une suite infinie de sentiments et d'émotions, que tout ce qui importait était tout ce qui n'était pas dit et gardé secret, que c'était le seul réel moyen de communiquer... Est ce que vrai pour vous aussi que les mots ne suffisent plus ? Vous êtes-vous déjà menti à vous même pour ne pas montrer que vous souffriez ? J'ai conscience que personne ne peut nier ces questions et pourtant si peu ose dévoiler leur souffrances. Il... Lui... Cette souffrance qui vous transperce le cœur mais dont vous êtes dépendantes, suis-je la seule personne masochiste de l'amour ? Lui... Mon esprit m'ordonne de l'oublier et supplie de le détester. Est-il trop parfait pour que j'en sois réellement capable ? J'aimerais me réveiller et oublier ce qui s'est passé, j'aimerais ouvrir mes yeux et le voir juste à côté de moi. Il... Est juste l'image idéal que je me fais de lui. J'y pense, rien n'est réel, il ne peut pas être celui dont je suis tombée amoureuse, je suis tombée amoureuse d'un rêve dont je n'arrive plus à me réveiller. Un coma m'envahit pour de bon pour combien de temps encore, 1an ? 2 ans ? Une vie ? Ne soyons pas stupide, même si "ça craint", nous n'en mourons pas. Un jour, on se réveillera, on sourira et on s'exclamera "J'ai ouvert les yeux... Mon cœur m'offre enfin la liberté !". Un pied devant l'autre, j'arriverai à m'y faire, à réaliser qu'il n'en valait pas la peine, il représente les mains glacés qui jamais ne tiendront les miens et le poison qui n'a servi qu'à te forger un cœur en fer... Oui, c'est vrai... J'ai peur de devenir amie avec lui quand même, mais peut-on rester sans jamais voir ce sourire ?! Si tendre, si innocent et peu sûre de lui, jamais plus adressé à une pauvre idiote comme moi. Suis-je perdue sans repère visuel, sans toi... Ma plus grande douleur est de savoir que toi même tu as changé de regard sur moi. La destiné est une idiote comploteuse briseuse de cœur.

Je sais qu'un jour viendra, où je ne me

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