Peur
Les hommes vivent dans le monde de la peur. On a peur de la criminalité, peur de l’insécurité, peur de la différence, peur de l’autre mais surtout de l’inconnu. On est entouré de la peur. L’atmosphère de ce monde est saturé de crainte et de méfiance. Mais elle est utile, car elle nous permet d’une part d’etre plus prudent dans le situations à risquer pour notre sécurité, et d’autre part que l’on mémorise les évènement provoqué par la peur, on essaye d’éviter de nous retrouver dans des situations similaires. Aussi l’inconnu combattu nous avance. Alors, faut-il avoir peur de l’étrangere et vaincre cette peur pour avancer dans la vie ?
L’inconnu, la diversité ne doivent pas être toujours périlleux. Peut-être juste un étranger peut nous aider en difficulté. Un étranger est quelqu’un que l’on ne connait pas mais avoir peur seulement de la préjugé que tout inconnu est dangereux, est un symbole de la déraison. Agir avec préjugé en l’absence d’informations suffisantes n’est pas une bonne qualité de l’homme. Ne considérer pas un étranger toujours comme un mauvais. Dans le livre de Didier Daeninckx Le Cannibale, en ce qui concerne Gocéné, quand Caroz un homme tout blanc, tout différent de lui a pris la défense de Gocéné. Dans cette oeuvre il y est tres visible l’incertitude de l’inconnu, de divergence entre deux race. Mais l’aide à Caroz a débrouillé la crainte d’un Noir des Blancs. Et aussi dans le roman feuilleton Le Bossu de Paul Féval, quand le duc Phillipe de Nevers était sauvé par un chevalier étranger Henri de Lagardere et qui apres son assassinat prenait soin de sa fille Aurore. Pour cela, la peur n’est pas obligé.
La peur de l’inconnu diminue le champ des connaissances. Notre vie se déroule tout le temps dans la cognition des circonstance autour de nous. Et qu’est-ce qui se passe, où qu’est-ce qu’il y a à l’extérieur on n’en sait pas. Plus de la découverte de l’obscur, plus le champ des connaissances élarge.