SUJET 1 / Peut-on dire du travail qu’il fait violence à la nature humaine ? La nature humaine, soit les Hommes en général , donnent souvent une connotation négative et péjorative du travail (quel qu’il soit). Pourtant, se sont eux qui changent, transforment ou modifient la nature dans le but de la rendre meilleure à leurs yeux et ces modifications ne sont l’issues que du travail par le biais du savoir faire et des outils. Ce travail fait donc partit du nécessaire d’où le nombre conséquent de personnes qui voudraient bien s’en passer. Mais les transformations de la nature faites par l’homme, est aussi quelque chose d’assez « spirituel » puisqu’il va faire appelle à sa créativité au travers de cette activité. Dans ce sens, on peut dire que la Nature se trouve être « utile » et « bénéfique » pour les hommes. Mais dans certains cas, le travail se « déshumanise ». Alors, dans quels cas peut-on dire du travail qu’il fait violence à la nature humaine ?
Dans un premier temps, nous verrons que malgré l’opinion globale de la population de l’aspect négatif du travail, la pensée nous montre que le travail nous permet de prendre conscience de nous même et de nos capacités. Dans un second temps, nous nous intéresserons au fait que les bienfaits du travail ont des limites.

Le travail est souvent rapproché, par une opinion commune, à quelque chose de contraignant, pénible, épuisant, et surtout inévitable (pour être rémunéré et vivre plus ou moins dans de bonnes conditions). Par ailleurs, les philosophes trouvent que cela permet d’exprimer la liberté de l’homme et de créer une différence avec les animaux. Le mot « travail », de provenance latine, désigne au départ un instrument de torture à trois pieux qui servait à tenir les chevaux trop agités durant leurs ferrage. C’est alors que dès son origine, ce mot donnait une idée d’assujettissement