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Peut-on reprocher à une oeuvre d'art de nous vouloir rien dire ?

490 mots 2 pages
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Champs de problème : le sujet et la morale

Notions « conscience, inconscient, désir, devoir et bonheur »
Qu’est ce qui fonde l’identité humaine ?

PARTIE 1.
La conscience semble être la caractéristique humaine A. Conscience morale B. Conscience cognitive
PARTIE 2.
Mais si tel est le cas, comment expliquer qu’il n’ait pas accès à tout ce qui se passe en lui ?
FREUD, Inconscient : lieu de refoulement de certains désirs liés à l’animalité PARTIE 3.
Est-ce donc le désir qui caractérise l’homme ? A. Le désir B. L’objectif du désir : le bonheur

INTRODUCTION L’homme semble se différencier très nettement des autres êtres vivants. D’où le nécessité de découvrir son essence. Au cours de l’histoire de la philosophie plusieurs propositions ont été faites. Elles mettent toutes en valeur ces facultés apparemment supérieures notamment techniques et intellectuelles. Qu’est ce qui peut expliquer une telle différence ? Qu’est ce que fonde l’identité humaine ? Il s’agit de déterminer la spécificité humaine ce qui fais qu’il est un être humain. Traditionnellement on définit l’homme par sa conscience c'est-à-dire la capacité de savoir ce qui se passe en soi. Est-ce le « je » qui est la base de la nature humaine ? (P1) Mais si tel est le cas comment expliquer qu’il n’ait pas accès à tout ce qui passe en lui ? Par exemple, les rêves que nous produisons sont compréhensibles tout comme certains comportements. La psychanalyse explique ses manques de maitrises en évoquant l’hypothèse de l’inconscient. Il y aura en nous, des pensées et des processus inconscients du au refoulement de certains désirs liés à l’animalité (comme certains désirs sexuels ou/et violents). Le désir est-il dès lors le fondement de l’identité humaine ? Mais si le désir est la tension de notre esprit vers la réalisation d’un but, comment expliquer que nous les refoulions ? Il serait interdit de les réaliser au nom de la morale du devoir, mais ces désirs sont naturels puisqu’ils sont

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    Puis il évoque ce qui le différencie des autres êtres humains. Je trouve que cela représente bien ce que tout le monde pense intérieurement puisqu’on se demande parfois qu'est-ce qui nous rend unique, intéressant. Pourquoi moi et pas quelqu'un d'autre ?….

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    Mais cette conscience morale, du bien et du mal, est-elle innée ou acquise ? Je vais réponde à ce sujet en évoquant différents philosophes tels que Rousseau, Platon, Socrate, Locke et Hume et leur point de vue face à cette notion. D’une part, on peut considérer que la conscience morale est quelque chose d’innée, naturelle. Effectivement, la perception du bien et du mal peut être vu comme un commandement venant de notre for intérieur qui peut être soit écouté et suivi soit nié ou rejeté.….

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