Phage
La hiérarchie des styles au sens de OpenOffice.org Writer n’a rien à voir avec une structure hiérarchique des éléments d’information qui constituent le document. Il s’agit d’une filiation des propriétés des styles.
Quelles recommandations faire ? Il n’y a probablement pas de règle immuable. Voici cependant quelques habitudes discutables : • aucun des styles utiles ne dépend du style « Standard », qui est laissé isolé dans la hiérarchie des propriétés ; • tous les titres sont attachés à style père unique, par exemple ils dépendent tous directement de « Titre », en peigne, alors que des auteurs préfèrent que les styles de niveau n, dépendent du niveau n-1 ; • les styles des éléments du corps du document dépendent du style « Corps de texte », rarement par l’intermédiaire d’un autre style.
Le style « Standard », isolé et intouchable, peut être utilisé pour des cas particuliers, notamment dans le squelette. Ceci permet de modifier les propriétés locales d’un élément unique, qui n’a jamais à être créé par les rédacteurs.
Il n’y a pas beaucoup d’enjeu dans la filiation, car il est toujours possible de la modifier. Par ailleurs, cela porte sur des opérations peu fréquentes, par exemple pour changer la police de tous les titres. Cependant, une bonne hiérarchie facilite les mises au point pendant la phase de test.
Importance du « Style de suite »
Lorsque l’on rédige à l’écran, il faut avoir le minimum d’interventions à faire pour coder le document. Une des manières de réduire les actions du rédacteur est d’automatiser certains enchaînement de styles.
Il y a des cas où l’enchaînement est presque systématique, par exemple pour introduire une liste le rédacteur doit l’ouvrir, par exemple avec le style « En‑tête de liste ». Le « Style de suite » est « Puce 1 » pour une liste non ordonnée.
L’arrêt de la liste se fait par l’appel d’un style différent,