Phedre
Phèdre, la jeune épouse du roi Thésée est tombée en amour de son beau fils Hippolyte.
Phèdre souffre énormément de son amour pour Hippolyte.Cette grand amour interdit Phèdre en souffre physiquement,dans le (vers153 )elle dit «Je me soutiens plus. Ma force m’abandonne. Mes yeux sont éblouis du jour que je revois,et mes genoux tremblants se dérobent sous moi. Hélas! »Dès son apparition dans la scène Phèdre exprime sa souffrance. On voit bien dans ce vers qu'on utilise les ponctuations pour énumérer à quel point est sa souffrance. On aperçoit aussi une gradation,pour laquelle son état se dégrade.«Qu'elle ne ses soutiens plus, sa force l'abandonne,genoux tremblant se dérobent sous-elles. Le fait aussi qu'elle s’assoit montre qu'elle a perdu vraiment sa force. Il y a le point d'exclamation qui renforce sa détresse.
Phèdre veut mourir.«Je t'en ai dit assez. Épargne moi le reste. Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste». Dans ce vers Phèdre affirme son aveu de mourir pour son amour. Ce vers est subjonctif car elle a ce souhait ou le but de réaliser qu'elle voulait mourir. La longueur des mots et des phrases de ce vers aussi nous indique l’écoulement de l'état de Phèdre. On peut voir un champ lexical de la mort au (vers 220 à 242)«criminelles»,«Je meurs»,«un aveu si funeste»,«silence»,«mon âme»,«douleur»,«cruelle»,«foi»,«j'en mourrai plus coupable».
Phèdre souffre physiquement jusqu'au point qu'elle voulait en mourir de ce grand amour interdit pour son beau