D’une part, Phèdre fera tout en son pouvoir pour oublier Hippolyte mais sans résultat. En conséquence de ces actions, son amour pour Hippolyte est plus fort de jours en jours. Dans l’alexandrins suivant, l’utilisation des mots opposer <<Tu me haïssais plus, je ne t’aimais pas moins>> (v.688) mettent a l’évidence l’antithèse. Ici Racine fait un jeu de mot avec deux termes contraires qui soutiennent donc que peu importe ce que Phèdre fait elle aime encore plus beau fils. Le personnage de Phèdre décrit le passé et insiste sur le fait qu’elle cherchait tout de même à l’oublier. << J’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine ; pour mieux te résister, j’ai recherché ta haine>> (v.685, 686). L’utilisation de tels adjectifs pour la décrire font en sorte de faire comprendre au personnage d’Hippolyte qu’elle na jamais voulu lui faire du mal malgré tout. Ainsi donc, Phèdre implore Hippolyte de causer sa mort soudaine avec son épée. Racine se sert du champ lexical de la brutalité a la fin de la 2iem tirade; <<venge-toi>> (v.699), <<Frappe>> (v.707). Phèdre sait qu’Hippolyte sera jamais comme son père, mais veut tout de même lui donner plus de prestige et se en la tuant puisqu’elle se considère comme un monstre. Elle essaye donc de pousser Hippolyte à commettre ce geste pour arriver au statue de héro ; <<supplice>> (v.708) <<épée>> (v.710). Lorsque Phèdre demande à Hippolyte de se venger pour tout le mal qu’elle lui a causé, encore une fois Racine use de la personnification <<Si ta haine m’envie un supplice si doux>> (v. 708). Dans ce dernier vers, Phèdre parle a la haine d’Hippolyte et espère donc qu’elle va réussir à la grandissante en lui et le convaincre sinon elle sera prête à commettre un suicide. Pour terminer, lorsqu’elle tente de se faire pardonner par Hippolyte pour ces gestes, Phèdre demande au fils de Thésée de débarrasser le monde de ce