Date de remise: Mardi le 18 septembre 2012

Journal de Bord

Karl Marx
Dans un premier temps, la philosophie de Marx a pour objectif d’identifier le mécanisme qui permet le mouvement de l’histoire et analyser la réalité qui nous entoure afin de la transformer. En effet, il ne sert à rien de se questionner sur l’homme puisqu’il faut plutôt le comprendre dans ses conditions matérielles. L’homme invente son existence et ses valeurs sont déterminées par le mode de production; mode de production répertorié en quatre grandes périodes soit le communisme primitif, l’esclavagisme, le féodalisme et le capitalisme. Le capitalisme, par exemple, est composé d’une superstructure et une infrastructure qui assure la survie de l’homme. L’infrastructure produit les besoins essentiels et non essentiels pour exister et maintien la société en place tandis que la superstructure propagent à l’aide de lois et d’institutions les connaissances aux individus afin qu’il puisse fonctionner. Marx a pu comprendre cette réalité grâce à l’analyse idéologique. Celle-ci permet de cerner les intérêts sociologiques, économiques et politiques .Elle a permis de comprendre que ce sont les classes dirigeantes qui contrôlent la superstructure et s’assure qu’elle se maintien. Ces mêmes classes ont des intérêts opposés aux ouvriers puisqu’ils ont des places différentes dans le rapport de production. Étant donné que nous vivons dans une société capitaliste où les profits sont essentiels au maintien de ce système et que les rapports de classes sociales sont antagoniste, il y progrès économique; progrès résultant de changements dans l’infrastructure. Nous baignons dans l’idéologie crée par l’homme. Ce dernier ne peut être libre s’il ne fait que travailler. La seule liberté possible est celle hors des temps de travail. Par conséquent, plus on n’a de faux besoins, plus on doit travailler et moins on n’a de liberté. Selon Marx, le rôle premier de la société est de