Philo qu est ce que le moi

1048 mots 5 pages
Qu’est-ce que le moi ? On associe au « moi »une composition précise : une substance qui est invariante, et une seconde : le corps et l’esprit à l’inverse changeante. Pour l’homme le « moi » est la chose la plus connaissable, la plus proche de lui, mais aussi la moins définissable. Pour Pascal, la question du « moi » et du sentiment amoureux sont étroitement liées.
Comment distinguer le « moi » ? Est-il possible de saisir et aimer entièrement ce que l’autre est ?
Blaise Pascal pose la question général de la recherche du « moi » explicitement dès le début du texte. Si l’on aime les qualités du « moi », on ne peut pas affirmer l’aimer entièrement puisque les qualités sont périssables tandis que le « moi » demeure éternel.
Le texte s’ordonne en deux parties. Pascal précise d’abord qu’aimer le « moi » pour sa beauté n’est pas l’aimer tout entier, il utilise l’exemple de la petit vérole pour montrer la destruction de la beauté et ainsi celle de l’amour du « moi » Il se penche alors sur la recherche du « moi » : où est-il réellement ? En effet, l’amour du « moi » s’arrête quand ses qualités telles que la beauté, la mémoire ou le jugement meurent alors que le « moi » est éternel. Aimons-nous vraiment le « moi » ? La nature du « moi » est difficile à définir. Dans l’extrait étudié, Pascal se penche sur celle recherche du « moi ». Le « moi » est une entité éternelle, qui demeure malgré les changements. Elle est associée au sentiment amoureux dans l’extrait, celui du rattachement à l’autre, incité pas l’appréciation d’une ou plusieurs de ses qualités.
En effet, en utilisant l’exemple de la petite vérole, il démontre qu’on dissocie l’amabilité des qualités et celle du « moi ». En altérant la peau, la maladie affecte la beauté mais n’affecte pas ce que je suis. Néanmoins, il affirme que l’amour que l’on porte au « moi » atteint de la maladie s’arrête : ici on aime le « moi » pour une qualité et non pour ce qu’il est réellement puisque la beauté

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