Philo

3314 mots 14 pages
Certains Hommes affirment que nous vivons à une époque particulièrement stressante où nous nous posons toutes sortes de questions existentielles telles que : La connaissance de soi par soi-même. Cette pression permanente entraîne l'apogée de certains modes de vie prônant un certain bien-être tant physique que moral. Pour certains, la quête intérieur ne peut-être obtenue que par une bonne connaissance de soi-même. Mais peut-on réellement se connaitre soi-même ? Tout d’abord, le terme « peut-on » du verbe pouvoir qui renvoie à un choix ou une possibilité est différent de falloir qui lui renvoie à une obligation. Cette distinction explicite dans un premier temps la limite de la puissance. De plus, le terme « connaitre » renvoie ici à l’intelligibilité d’un savoir effectué par une opération de notre esprit. Enfin, les termes « se » et « soi-même » précisent l’orientation de la connaissance de soi par soi-même qui évoque et spécifie le caractère subjectif de la question et donc du thème. Cette recherche de connaissance entraîne le sujet à réfléchir et à prendre conscience de certaines de ses réactions ou émotions qu'il tente par la suite d'expliquer. Se pose alors le problème de la capacité d'explication lié par exemple à la limite du langage ou à celle des moyens utilisés. Dès lors on peut donc se demander si nous sommes réellement les mieux placés pour nous connaitre, si cette connaissance de nous même est complète ou bien si l’homme n’aurait-il pas peur de ce que cette recherche pourrait lui révéler et s’il dispose réellement de la volonté de se connaitre ?

I (a) Le premier aspect de la connaissance de soi a tout d’abord été démontré par la citation de Descartes : "Je pense donc je suis", qui a permis de montrer que l'homme est capable de penser par lui même. Le "je", première personne du singulier, étudié par Kant, montre que chaque homme est par nature porteur d'une faculté exceptionnelle, qui le distingue de tous les autres êtres vivants. En effet, seul

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