Philo

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Ce sujet ce tient en trois grandes parties. dans un premier nous allons étudier: on voit mal comment on pourrait être responsable de ce dont on n'a pas conscience. dans une deuxième grande partie, nous allons nous intéresser: sur la responsabilité qui reste la norme. et pour finir, nous allons voir: l'absence de responsabilité doit rester une exception.I) On ne voit mal comment on pourrait être responsable de ce dont on n'a pas conscience.1) L'animal est dominé par son instinct: il ne dispose pas de conscience et on voit bien qu'on ne peut pas le considérer responsable de ce qu'il fait; le problème ne se pose pas. (Lien conscience responsabilité). Nous avons le même problème ou presque avec l'enfant en bas âge: conscience en développement.2) De même, lorsque la conscience est chroniquement affectée, la responsabilité est remise en cause (cas de la folie, qui nous amène à l'irresponsabilité pénale car impossible de contrôler ses actes pour le malade et d'assumer le fait d'en être la cause= le malade est comme déterminé par sa maladie, donc il n'est pas libre). C'est le domaine du pathologique.3) De la même manière, les actions que j'effectue lorsque ma conscience est troublée par la maladie (ex: le malaise au volant) et que les fonctionnement de ma conscience ne me permet donc plus de répondre de mes actes. Si l'inconscience est involontaire, le problème ne se pose pas.Transition: on voit donc que si notre problème doit avoir un sens, ce sens s'inscrit dans un contexte humain, où nous agissons librement et qui met apparemment en jeu notre volonté. Cependant, il n'est toujours pas évident que notre question ait un sens réel.II) Pourtant, la responsabilité reste la norme.1) Reprise de l'exemple du malaise au volant; s'il est causé par la consommation d'alcool ou de stupéfiants, il dépendait de nous de pas devenir inconscient. J'ai le devoir de rester conscient et de ne pas volontairement sombrer dans l'inconscience. Problème de responsabilité pénale.2) De même, c'est

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