philo

1923 mots 8 pages
Burke: enquête philosophique sur les origines …. il reprends mais l’on peut considérer qu’avec burck la question du sublime deviens une question centrale distinction entre le beau et le sublime approche esthétique fondée sur quelque chose fondée sur le gout , mais un gout basé sur la passion burke va insister sur le sublime comme une cause a avoir avec la passion la douleur voir le danger. se qui sépare le beau du sublime mais satisfait l’attente .. le beau satisfait ne provoque pas le tumulte dans se que nous fait vivre . Burke reprends a sont compte se qu’évoquait longin toujours dans cette même expérience de la douleur on est au dela de la raison le sublime est une expérience exceptionnelle , une tension on est proche du sensualisme le sublime c e son ses images qui font mettre en nous cette expression forte tendue qui emporte tout sur son pesage il y a un puissance du sublime

le plaisir : le beau procure du plaisir mais c’est un plaisir qui rassure qui permet a un individu de se réconcilier avec la nature etc c’st un plaisir qui satisfait un besoin de sérénité qui favorise notre bien être par rapport a la nature. delight = délice fracture entre beau et sublime et le sublime deviens une conception qui s’oppose a la beauté le delice que l’on éprouve nous rappelle le sens d’évoquait longin il y a peut être une différence monumentale entre longin et Burke chez burck le sublime est plus violent que la simple vehementce le sublime est sans doute plus sombre que celui de longin un idées que le beau et le sublime se distingue qui expliquerais l’utilisation du mot delight qui renfos a l’expérience esthétique. afin quelle soit de l’ordre de la distance et B inscrit son discours dans l’expérience de …

la pensée sur le sublime tel que la proposé boileau/longin la pensée esthétique ou précisément le classicisme burke reprend le texte de longin et notamment ce classicisme esthet’ maintient ce ke l’on pourrait qualifié d’identification

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