Philo
Ici il est question du « pouvoir sur », exercé sur les autres alors que le « pouvoir de » est exercé sur les choses.
L’obéissance semble restrictive de ma liberté puisqu’obéir, c’est toujours se soumettre et en particulier à la volonté des autres. Alors pourquoi acceptons-nous d’obéir ?
« Obéir » c’est se soumettre à la volonté d’un autre qui exerce sur nous un pouvoir ie une relation entre deux individus tel que l’un dirige la conduite de l’autre pour parvenir à ses fins) ( cf M.Foucault et l’analyse des micros-pouvoir).
Obéir c’est donc renoncer à sa liberté. Mais de quelle obéissance parle-t-on ?
L’obéissance peut être contrainte, mais aussi libre id est consentie. On peut donc paradoxalement, librement renoncer à sa liberté. 2. Pouvoir et obéissance : pourquoi acceptons nous d’obéir ?
Ici il est question du « pouvoir sur », exercé sur les autres alors que le « pouvoir de » est exercé sur les choses.
L’obéissance semble restrictive de ma liberté puisqu’obéir, c’est toujours se soumettre et en particulier à la volonté des autres. Alors pourquoi acceptons-nous d’obéir ?
« Obéir » c’est se soumettre à la volonté d’un autre qui exerce sur nous un pouvoir ie une relation entre deux individus tel que l’un dirige la conduite de l’autre pour parvenir à ses fins) ( cf M.Foucault et l’analyse des micros-pouvoir).
Obéir c’est donc renoncer à sa liberté. Mais de quelle obéissance parle-t-on ?
L’obéissance peut être contrainte, mais aussi libre id est consentie. On peut donc paradoxalement, librement renoncer à sa liberté. 2. Pouvoir et obéissance : pourquoi acceptons nous d’obéir ?
Ici il est question du « pouvoir sur », exercé sur les autres alors que le « pouvoir de » est exercé sur les choses.
L’obéissance semble restrictive de ma liberté puisqu’obéir, c’est toujours se soumettre et en particulier à la volonté des autres. Alors pourquoi acceptons-nous d’obéir ?
«