Philosiphie

989 mots 4 pages
I CONNAISSANCE DE SOI + FACILE MAIS LIMITE

M: Au premier abord on pourrait croire que la connaissance de soi est la plus accessible. En effet il semble plus facile de connaitre ce qui nous est intérieur qu’extérieur. Cette impression est lié au fait de bien se connaitre soi même.
Savoir « que je suis » n’entraine pas automatiquement que je sais « qui je suis ». Pour me connaitre j’ai besoin d’éléments plus détaillés et complexe que la simple conscience de soi. De plus, la conscience de soi n’est pas définitivement acquise, elle disparait dans le sommeil, la douleur ou la folie.
On pourrait croire alors que la connaissance des choses qui nous sont proches est plus facilement connaissable, à la fois par la proximité et par leur moins grande complexité, car les choses contrairement aux être humain ne possèdent pas de conscience, ces choses ne peuvent pas penser. De plus les choses extérieures, on ne peut les connaitre que par les sens ce qui implique une interprétation. Mais il n’en est rien car le monde est toujours aussi complexe et exige une mise à distance critique. On ne connait pas le monde simplement parce qu’il est proche et évident, il ne suffit pas de le percevoir pour y croire. Les choses sont en effet physiquement perceptible cependant on ne les connait pas au point de les comprendre.

INternet: La question de la connaissance de soi est à la source même de l’existence humaine. De fait nous ne pourrions exister si nous ne nous posions pas une telle question. La pensée étant toujours en action, en définitive, l’homme ne cesse de se connaître. De plus personne ne peut nous connaître mieux que nous même. Depuis le début de notre vie nous vivons avec nous-même et cela est indissociable. Je suis le seul à savoir ce que je ressens, ce que je pense, ce dont je rêve, quel est mon passé dans les moindres détails et ce que j’en ai appris. J’ai un rapport direct avec ma conscience. Ainsi

Mais cela qui ne veut pas dire que nous nous connaissons totalement.

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