Philosophie de Socrate sur la mort

À une certaine époque, un homme du nom de Socrate fut proclamé l’homme le plus sage par l’oracle de Delphes. Voulant démontrer la fausseté de ces dires, Socrate tenta en vain de se persuader ainsi que les autres que c’était faux. Cependant, il se rendit compte que c’est en ne prétendant rien savoir que l’on se rapproche de la sagesse et qu’en pensant tous savoir, on ne prend pas compte de notre ignorance. Malheureusement, c’est par le «bien» de sa sagesse que Socrate fut mis à mort. Il est par contre intéressant d’observer l’idée que Socrate a de la mort. Quant à moi, la philosophie que cet homme porte sur la mort ne me donne pas raison de son opinion.
Socrate a une philosophie de la mort qui se démarque grandement de la normale. Pour lui, la mort n’est pas quelque chose à craindre puisque nous ne connaissons rien de concret à ce sujet. Puisque la mort pourrait tout autant être le plus grand des biens pour l’homme alors qu’on la craint croyant qu’il s’agit du plus grand malheur. Et voilà un autre exemple du fait que nous croyons encore savoir ce à quoi nous n’y savons rien. Ce qui démontre la sagesse supérieure qu’a Socrate de ne pas prétendre ce qui ce passe dans l’au-delà. La seule chose que ce philosophe craint est de faire le mal et de désobéir à un meilleur que soi. Cet homme ne craint rien qu’il ne sache séparer du bien ou du mal. Comme preuve «concrète», Socrate prétend que la voix qui l’empêche normalement de finir ses propos lorsqu’ils ne sont pas bien ne l’a pas interrompu tout au long de son discours face aux juges alors qu’il continuait de défendre son point au lieu de se soumettre. Démontrant ainsi qu’il ne faut pas craindre la mort et que ce qu’il a su dire à son auditoire était bien. L’homme décrit comme le plus sage préfère mourir plutôt que d’arrêter de philosopher. Il voit la mort comme un changement, une transition de l’âme à un autre endroit.
Il serait facile d’écrire à ce sujet un bien plus long texte